Napoléon Ajaccio Mediterranée

Napoléon Ajaccio Mediterranée

Un peu d'histoire !!!

La Bataille de Marengo

Le 14 juin 1800, l’armée française, sous les ordre du Premier Consul, forte de 50.000 hommes, livra bataille à l’armée autrichienne composée de 55.000 combattants commandée par Melas, et campée au village de Marengo. Quatre fois les troupes françaises furent repoussées et mises en retraite et quatre fois elles furent ramenées au combat après un carnage horrible, quand tout à coup Desaix fit son apparation au moment même où la bataille était pour ainsi dire perdue. Desaix dit à Bonaparte : « Oui, la bataille est perdue, mais il n’est que trois heures, il reste encore le temps d’en gagner une », et se jeta dans la mélée avec 6.000 hommes de renfort ; et Marengo devint une de nos plus belles victoires, mais au prix de quelles pertes. Desaix, le héros de la journée, tomba mort, et plus de 6.000 français, tués ou blessés, jonchèrent le champ de bataille. Les autrichiens, de leur côté, perdirent 8.000 hommes tués ou blessés et 4.000 prisonniers. Les principaux auxiliaires de Bonaparte et de Desaix, furent ici, Murat et Lannes.

 

 

1er avril 1811 : Napoléon Ier épouse Marie-Louise d'Autriche, civilement, à St-Cloud.

 

 

 21 Mars 1804: Adoption du Code Civil dit " Code Napoléon "

‎21 Mars 1804: exécution du Duc d'Enghien

 

 

Le sejour à Ajaccio de Napoléon Bonaparte à son retour d'Egypte.

 

Ajaccio, le 28 septembre1799. Vers 2 heures de l'aprés-midi, alors que la ville est bien tranquille, la vigie ajaccienne annonce plusieurs voiles à l'horizon. L'autorité donne ordre à la felouque corsaire du capitaine Roch Donzella d'aller en reconnaissance. En abordant le vaissseau de tête qui portait les couleurs françaises, il demanda : "D'où venez vous , qui apportez-vous ?". Le général Berthier se fit connaitre, et le capitaine Donzella demanda : "Avez-vous des nouvelles du général Bonaparte ?" Celui-ci, à cette question, se montre et son apparition est saluée aussitôt par les vivats de l'équipage de la felouque ajaccienne qui regagne aussitôt le port, en temoignant son allégresse par des feux de salves et arborant le grand pavois. La population d'Ajaccio qui suivait, curieuse, ses manifestations lointaines se rend en foule au rivage et dés que la nouvelle de la présence de Bonaparte lui est parvenue elle éclate en signe d'allégresse. Les cloches sonnent à toute volée, les canons de la citadelle tirent des feux de salve. Napoléon se tient sur le pont entouré des généraux Murat, Lannes, Berthier, de son beau-fils Eugéne de Beauharnais, de son frére Louis, son aide de camp Andreossy, de Monge et de Berthollet. Il reçoit avec émotion les hommages de ses concitoyens, mais persiste à remettre la joie du débarquement le lendemain. Le général Bonaparte débarque au milieu des transports d'enthousiasme de ses concitoyens qui le porte en triomphe à la maison paternelle, où il est reçu par sa mamuccia, Camilla Ilari, par le viel et fidéle ami de sa famille, Jean-Jérôme Levie et par quelques parents. Le général passe cinq jours à Ajaccio. Le 5 octobre, il quitte son île natale qu'il ne devait revoir que dans ses souvenirs à Sainte-Hélène.

(source : http://ajaccioartculturehistoire.e-monsite.com)

 

 

 

Exilé depuis mai 1814 sur l'île d'Elbe dont il a obtenu la souveraineté, Napoléon se tient informé de la sitation de l'Europe et de la France. Il sait qu'il peut compter sur sa Garde et l'armée est plutôt nostalgique de l'Empire. Il se sent menacé dans son palais de Porto-Ferrajo. Il decide de rentrer en France. Le 25 Février, il prépare une déclaration adressée à l'armée :

 

- Soldats, venez vous ranger sous les drapeaux de votre chef. La victoire marchera au pas de charge ; l'Aigle, avec les couleurs nationales, volera de clocher en cloher jusqu'aux tours de Notre-Dame.

Alors vous pourrez montrer avec honneur vos cicatrices. Alors vous pourrez vous vanter de ce que vous avez fait. Vous serez les libérateurs de la patrie.

 

Le lendemain 26 février, Napoléon s'embarque sur le brick l'Inconstant. Il débarque le 1er mars à Golfe-Juan. C'est le début des "Cent-Jours".

Accueilli en héros, il progresse jusqu'à Grenoble où il arrive le . le colonel La Bédoyère a été envoyé pour l'arrêter, mais il se rallie à l'Empereur. Plus rien ne peut l'arrêter. Napoléon atteint Paris le 20 mars 1815.

 



07/03/2011
0 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 8 autres membres